Le nouveau projet de loi américain à la stable prend forme: les propositions révélées

Une version mise à jour du «Genius Act», le projet de loi sur la stable proposée par le sénateur républicain Bill Hagerty, est publiée aujourd’hui. Cependant, le comité des banques du Sénat américain a divulgué des plans pour apporter des modifications au projet de loi jeudi.
Aspects clés du génie acte
Selon la proposition, la Loi sur le génie établit des exigences pour émettre des étages de paiement aux États-Unis. Il permettrait à certaines entités, y compris des filiales des banques assurées, des émetteurs non bancaires et des institutions à carrelage de l’État, d’émettre légalement des stablescoins de paiement. Les émetteurs doivent se conformer aux réglementations bancaires, y compris les normes de capital, de liquidité et de confidentialité. Les petits émetteurs (avec une capitalisation boursière de moins de 10 milliards de dollars) peuvent opter pour une réglementation au niveau de l’État, à condition qu’il s’aligne sur les directives fédérales.

Les régulateurs fédéraux et étatiques superviseraient les émetteurs, le contrôleur gérant les émetteurs fédéraux non bancaires et la Réserve fédérale ayant une autorité limitée.
La loi précise que les stablescoins de paiement ne sont pas des titres, mais leur statut de matières premières reste incertain. Il hiérarte les détenteurs de stablescoin dans les procédures d’insolvabilité et exclut les étages émis sur des blockchains privés.
De plus, l’acte N’en oblige pas l’accès aux comptes maîtres de la Réserve fédérale pour les émetteurs, ni n’impose de nouvelles exigences comptables comme celles en vertu de la SAB 121. Il encourage également la coopération internationale pour les transactions stablecoin.
La loi sur le génie décrit les règlements pour les émetteurs de stablecoin de paiement autorisés, offrant trois principales options d’enregistrement:
- Filiales des institutions de dépôt assurées (IDI): Celles-ci exigent l’approbation des régulateurs fédéraux pour émettre des stablescoins.
- Émetteurs non bancaires qualifiés fédéraux: les entités non bancaires approuvées par le contrôleur peuvent émettre des stablecoins.
- Émetteurs qualifiés de l’État: les entités approuvées par les régulateurs de l’État peuvent émettre des étalcoins dans le cadre de l’État.
Les émetteurs doivent se conformer aux exigences de réserve, en veillant à ce que leurs stablecoins soient entièrement soutenus et divulguer les détails de réserve mensuellement. Les procédures de rachat doivent être en place et les émetteurs ne peuvent pas rehausser les réserves. Les détenteurs de paiement de paiement sont prioritaires en cas d’insolvabilité des émetteurs.
La loi établit également des pouvoirs de surveillance et d’application des régulateurs, notamment le contrôleur et la Réserve fédérale, pour les émetteurs fédéraux et étatiques. Il restreint les activités des émetteurs aux fonctions liées à la stable, fixe les exigences en matière de capital et de liquidité et introduit des règles de confidentialité en vertu de la loi Gramm-Leach-Bliley.
Les régulateurs des États et fédéraux sont autorisés à établir des règles pour les émetteurs de stablecoin, avec des dispositions pour la supervision, l’application et l’autorité de secours. La loi encourage également la coopération internationale pour l’interopérabilité des stablescoin, impose une étude sur les stablecoins algorithmiques et crée des règles de garde pour les fournisseurs de portefeuilles.
Enfin, la « réciprocité pour les étalcoines de paiement émises dans les juridictions à l’étranger » comprend les «exigences de réserve, la supervision, la lutte contre le blanchiment d’argent et les caractéristiques de lutte contre le terrorisme, les normes de conformité des sanctions, les exigences de liquidité et la gestion des risques, pour faciliter les transactions internationales et l’interopérabilité avec les États-Unis.
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